Ils peuvent atteindre la taille de 1m20 de long et 70 à 90 cm de haut. Ils sont généralement brun ou vert.
Pour attaquer, ils utilisent leur crocs très venimeux. Ils s'attaquent à peu près à tout ce qui se présente, avec une préférence pour la chair jeune et tendre
Certain écris disent que les basilics peuvent changer de forme. D'autre encore qu'ils peuvent tuer d'un simple regard ou pétrifier une personne si celle-ci le regarde au travers d'un objet comme un miroir. Le chant du coq lui serait mortel et il ne supporterait pas l'odeur de la fouine mais les araignées auraient peur de lui. Il n'existe aucun antidote contre sa morsure venimeuse, hormis peut-être les larmes aux pouvoirs curatifs d'un phénix.
Selon d'autre source, le basilic est un reptile cracheur de venin, un lézard féroce, un immense dragon ou une chimère arborant la tête et les ailes d'un coq sur un corps de serpent. Le premier à évoquer ce charmant reptile fut Pline l'Ancien, auteur latin du Ier siècle, dont l'Histoire naturelle reflète les connaissances et les croyances des romains de l'antiquité.
Selon Pline, le basilic serait un serpent de petite taille (ne dépassant pas 40cm) à la morsure fatale, provenant d'Afrique du nord. Appelé « roi des serpents » du fait des marques en couronne qui ornent sa tête (basiliskos signifie « petit roi » en grec), et contrairement aux autres serpents qui ondulent sur le sol, le basilic avance sur sa proie, le corps dressé. Parmi ses pouvoirs, il possèderait celui d'enflammer les buissons, et sa seule exhalation briserait net les pierres.
Le basilic vit dans les déserts, pas nécessairement par choix, mais parce que son souffle brûlant a tôt fait de transformer tout ce qui l'entoure en lieu de désolation. Pline rapporte que son venin est tellement puissant que, lorsqu'il arrive qu'un cavalier tue un basilic d'un coup de lance, le venin remonte le long de la lance, tuant ainsi le cavalier et sa monture.